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Le DNAT*
Le DNAT*
Le DNAT*
*Le Diplôme National d'Acupuncteur Traditionnel
Les épreuves de l'examen :
A – EPREUVE ECRITE
Durée 3 heures. Cette épreuve se déroule le samedi matin de 9h à 12h
Elle se présente sous forme de QCM de 100 questions, notées 1 point par réponse exacte.
Une grille mode d’emploi est remise avec le questionnaire.
Pour les candidats qui ne sont pas familiarisés avec le Pinyin, un lexique des équivalences est remis avec le questionnaire.
Les 20 dernières questions concernent l’anatomie acupuncturale.
La note éliminatoire à cette épreuve doit être inférieure à 12/20. Cependant, le candidat est autorisé à passer l’épreuve clinique.
Les grilles de QCM ne sont identifiables que par le numéro d’inscription. Les correcteurs ne peuvent avoir connaissance des identités des candidats.
Les questions ne portent que sur les connaissances fondamentales qui structurent l’acupuncture, à l’exclusion de toute question concernant une autre discipline comme la pharmacopée.
B – EPREUVE CLINIQUE
Chaque candicat/e doit apporter son matériel de traitement.
Cette épreuve doit mettre en relief les connaissances et les compétences techniques qu’un praticien doit avoir en présence d’un patient.
Elle se déroule en binôme avec alternativement le rôle du patient tenu par l’autre candidat
Chaque candidat est interrogé pendant 1 heure dont :
-
12 questions sur des points tirés au hasard notées 1 pt pour la localisation exacte et 1 pt pour décrire ses fonctions principales. Soit un total de 24. Trois erreurs sont éliminatoires. (temps imparti à cette épreuve 15 mn).
-
Examen du patient selon l’interrogatoire traditionnel et l’établissement d’un bilan avec pose d’aiguilles et moxas sur les points choisis en fonction de ce bilan.
-
Epreuve notée sur 200. Eliminatoire si la moyenne est inférieure à 12/20.
Le temps imparti à cette épreuve clinique est impérativement limité à 1 heure par candidat. En cas de contestation, chaque juré, dont le nom figure sur la feuille de notes du candidat examiné, doit justifier au verso du document de la notation attribuée .
Chaque jury est composé de 2 examinateurs qui ne peuvent en aucun cas examiner des candidats de leur école. L’épreuve est anonyme
Chaque épreuve validée sera acquise. En cas d’échec à l’une des épreuves, le candidat sera autorisé à la repasser à la session suivante.
En application de la réglementation en vigueur, la délivrance du DNAT n’est en aucun cas une autorisation à exercer et à pratiquer l’acupuncture. Ce diplôme atteste des connaissances acquises et des compétences cliniques et pratiques au cours du cursus.
*Le Diplôme National d'Acupuncteur Traditionnel
Les épreuves de l'examen :
A – EPREUVE ECRITE
Durée 3 heures. Cette épreuve se déroule le samedi matin de 9h à 12h
Elle se présente sous forme de QCM de 100 questions, notées 1 point par réponse exacte.
Une grille mode d’emploi est remise avec le questionnaire.
Pour les candidats qui ne sont pas familiarisés avec le Pinyin, un lexique des équivalences est remis avec le questionnaire.
Les 20 dernières questions concernent l’anatomie acupuncturale.
La note éliminatoire à cette épreuve doit être inférieure à 12/20. Cependant, le candidat est autorisé à passer l’épreuve clinique.
Les grilles de QCM ne sont identifiables que par le numéro d’inscription. Les correcteurs ne peuvent avoir connaissance des identités des candidats.
Les questions ne portent que sur les connaissances fondamentales qui structurent l’acupuncture, à l’exclusion de toute question concernant une autre discipline comme la pharmacopée.
B – EPREUVE CLINIQUE
Chaque candicat/e doit apporter son matériel de traitement.
Cette épreuve doit mettre en relief les connaissances et les compétences techniques qu’un praticien doit avoir en présence d’un patient.
Elle se déroule en binôme avec alternativement le rôle du patient tenu par l’autre candidat
Chaque candidat est interrogé pendant 1 heure dont :
-
12 questions sur des points tirés au hasard notées 1 pt pour la localisation exacte et 1 pt pour décrire ses fonctions principales. Soit un total de 24. Trois erreurs sont éliminatoires. (temps imparti à cette épreuve 15 mn).
-
Examen du patient selon l’interrogatoire traditionnel et l’établissement d’un bilan avec pose d’aiguilles et moxas sur les points choisis en fonction de ce bilan.
-
Epreuve notée sur 200. Eliminatoire si la moyenne est inférieure à 12/20.
Le temps imparti à cette épreuve clinique est impérativement limité à 1 heure par candidat. En cas de contestation, chaque juré, dont le nom figure sur la feuille de notes du candidat examiné, doit justifier au verso du document de la notation attribuée .
Chaque jury est composé de 2 examinateurs qui ne peuvent en aucun cas examiner des candidats de leur école. L’épreuve est anonyme
Chaque épreuve validée sera acquise. En cas d’échec à l’une des épreuves, le candidat sera autorisé à la repasser à la session suivante.
En application de la réglementation en vigueur, la délivrance du DNAT n’est en aucun cas une autorisation à exercer et à pratiquer l’acupuncture. Ce diplôme atteste des connaissances acquises et des compétences cliniques et pratiques au cours du cursus.
*Le Diplôme National d'Acupuncteur Traditionnel
Les épreuves de l'examen :
A – EPREUVE ECRITE
Durée 3 heures. Cette épreuve se déroule le samedi matin de 9h à 12h
Elle se présente sous forme de QCM de 100 questions, notées 1 point par réponse exacte.
Une grille mode d’emploi est remise avec le questionnaire.
Pour les candidats qui ne sont pas familiarisés avec le Pinyin, un lexique des équivalences est remis avec le questionnaire.
Les 20 dernières questions concernent l’anatomie acupuncturale.
La note éliminatoire à cette épreuve doit être inférieure à 12/20. Cependant, le candidat est autorisé à passer l’épreuve clinique.
Les grilles de QCM ne sont identifiables que par le numéro d’inscription. Les correcteurs ne peuvent avoir connaissance des identités des candidats.
Les questions ne portent que sur les connaissances fondamentales qui structurent l’acupuncture, à l’exclusion de toute question concernant une autre discipline comme la pharmacopée.
B – EPREUVE CLINIQUE
Chaque candicat/e doit apporter son matériel de traitement.
Cette épreuve doit mettre en relief les connaissances et les compétences techniques qu’un praticien doit avoir en présence d’un patient.
Elle se déroule en binôme avec alternativement le rôle du patient tenu par l’autre candidat
Chaque candidat est interrogé pendant 1 heure dont :
-
12 questions sur des points tirés au hasard notées 1 pt pour la localisation exacte et 1 pt pour décrire ses fonctions principales. Soit un total de 24. Trois erreurs sont éliminatoires. (temps imparti à cette épreuve 15 mn).
-
Examen du patient selon l’interrogatoire traditionnel et l’établissement d’un bilan avec pose d’aiguilles et moxas sur les points choisis en fonction de ce bilan.
-
Epreuve notée sur 200. Eliminatoire si la moyenne est inférieure à 12/20.
Le temps imparti à cette épreuve clinique est impérativement limité à 1 heure par candidat. En cas de contestation, chaque juré, dont le nom figure sur la feuille de notes du candidat examiné, doit justifier au verso du document de la notation attribuée .
Chaque jury est composé de 2 examinateurs qui ne peuvent en aucun cas examiner des candidats de leur école. L’épreuve est anonyme
Chaque épreuve validée sera acquise. En cas d’échec à l’une des épreuves, le candidat sera autorisé à la repasser à la session suivante.
En application de la réglementation en vigueur, la délivrance du DNAT n’est en aucun cas une autorisation à exercer et à pratiquer l’acupuncture. Ce diplôme atteste des connaissances acquises et des compétences cliniques et pratiques au cours du cursus.
Diplômes
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Csnat infos juin 2021
Un ouvrage, dont nous tairons le nom et celui des auteurs, est même édité gratuitement pour engager les lecteurs à soutenir les thèses avancées. Une réponse s’imposait :
« Bonjour Madame,
Je tenais à vous informer que je ne peux cautionner un tel discours concernant l’ouvrage “XXXX” que vous vous apprêtez à éditer
en me citant.
L’introduction présente de nombreuses erreurs en particulier
sur la non vérification de l’efficacité des vaccins. Que cette personne (dont je ne vois pas le nom) s’informe sur l’étude du Lancet
en Mai de cette année !!! »
- Dr Michel FREY.
Que de telles affirmations soient rapportées et cautionnées
par des médecins et des scientifiques, ne relèvent plus de l’objectivité et du recul nécessaire que tout chercheur ou prétendu tel doit observer dans son éthique pour être crédible, mais du militantisme
qui est une forme d’engagement politique relatif à une cause
que ses militants défendent pour la faire entendre par les autres
ou pour l’imposer une plus grande échelle, même au prix de contre vérités ou des fausses preuves pseudo-scientifiques.
Ce qui est grave, c’est que ces propos diffusés sur des réseaux dits sociaux, le soient au nom d’une prétendue médecine naturelle
t écologique alimentant tous les fantasmes et les peurs ancestrales.
Le paradoxe, c’est que ces mêmes contestataires qui crient
à la privation de liberté et au pistage des individus, se plient sans rechigner à la vaccination contre la fièvre jaune lorsqu’ils veulent voyager dans des pays à risques avec leur carte bancaire et leur téléphone mobile.
Ce n’est pas le meilleur moyen de nous soutenir dans notre combat pour que soit reconnu notre droit à exercer l’acupuncture
dans un projet de santé durable. Refuser de voir que nous sommes dans une situation à hauts risques relève de l’aveuglement.
SCIENCE OU MILITANTISME
Le président & le vice-président du CSNAT
Si sur le plan scientifique nous ne pouvons comparer le drame pandémique provoqué par le VIH, dont la transmission
et les démarches de prévention sont différentes, le monde,
depuis des décennies, n’avait pas été confronté une pandémie
à l’échelle planétaire, échappant à tous contrôles sanitaires, accompagnés de crises logistiques, économiques et psychologiques.
Passé les premières interrogations et l’observation médiatisée
du spectacle de ce qui se déroulait hors de nos « frontières géographiques », nous avons été vite rattrapés par la réalité
de l’étonnante rapidité de la progression virale sur tous les continents.
On ne peut nier que la communauté scientifique a été stupéfiée
et tétanisée devant l’ampleur des mesures sanitaires à mettre
en place et des inévitables conséquences sur les populations.
Les équilibres mondiaux, toujours précaires, ont été menacés
par une paralysie des besoins de première nécessité.
La pénurie de masques en a été le marqueur principal et l’objet
de polémiques qu’il conviendrait de rapporter à leur juste mesure.
Car, il ne faut pas oublier que, vu de notre Occident protecteur
et sanitairement sûr, nous regardions d’un œil goguenard
le spectacle des asiatiques masqués dés les premiers signes
de contaminations virales. Parce que cette pratique est inscrite
dans leurs cultures depuis toujours.
Hormis les personnels soignants, jamais, sous nos climats,
les populations avaient été dans l’obligation d’avancer masquées
et ensuite confinées. Des scénarios de plus en plus sombres
se dessinaient chaque jours et les décomptes des victimes dépassaient l’entendement.
Pour rassurer les populations, un vaccin à défaut de traitement
était « promis », au mieux, pour l’automne 2021. Il est arrivé
avec un an d’avance, comme si cela était normal, malgré les procédures habituelles d’essais cliniques assurant la sécurité
et l’innocuité.
A l’annonce de cette découverte et de la mise en place précoce
d’une logistique vaccinale, les passions se sont mobilisées, dénonçant l’incapacité des laboratoires français à mettre au point un vaccin
et, en même temps, mobilisant les arguments avancés par les anti-vaccins.
Nous avons été les témoins et sollicités pour diffuser des messages disant grosso modo et sans nuance, que les vaccins pouvaient
être remplacés par telle ou telle formule de la pharmacopée chinoise ou par tel point d’acupuncture.
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